Jean-Pol Bois a interviewé sur sa vie Jean-Claude Badré.
Jean Jaurès, le fondateur du journal l’Humanité, a été assassiné car il défendait la paix, parce qu’il s’opposait de toutes ses forces au déclenchement de cette boucherie absurde que fut la Première Guerre mondiale.
Cet anniversaire, marqué tous les ans, est d’une actualité criante cette année, alors que depuis février, la guerre est à nouveau sur le sol européen. Fabien Gay, le directeur de l’Humanité a prévenu lors de son discours devant le Bistrot du Croissant (l’ancien Café du Croissant, à l’endroit où Jean Jaurès fut assassiné, le 31 juillet 1914) : « C’est l’horreur, la violence absolue qui prime. C’est la négation de l’humanité, la non-reconnaissance de l’autre. Aucune société ne sort renforcée d’une guerre tant elle laisse des fractures béantes »
La guerre en Ukraine ne doit pas nous faire oublier d’autres conflits, au Yémen ou en Palestine, toujours plus occupé par Israël au mépris de toutes les résolutions de l’ONU, ni le rôle de notre pays comme marchand d’armes.
En Ukraine – où il défend un « cessez-le-feu immédiat » – comme ailleurs, Fabien Gay appelle à conjurer le pire. À respecter le droit international, à dialoguer, à ne pas se laisser enfermer dans des logiques de conflit, à écarter les tensions nationalistes et les logiques capitalistes d’accaparement des richesses qui ne peuvent « mener qu’au désordre et à l’affrontement ».
La culture de la paix est fondamentale pour le PCF en lien avec le partage des richesses et le développement pour l’émancipation de chacune et chacun.
Cette culture de la paix, vous la retrouverez aussi dans l’Humanité comme dans aucun autre journal. Le soutien au journal de Jaurès est plus que jamais d’actualité : lisez le et faites le lire !
Le nouveau député de la 1ére circonscription des Ardennes n’est pas un inconnu. Il a sévi pendant 13 années comme délégué général à l’Union des Industries et Métiers de la Métallurgie (UIMM) la principale force du MEDEF 08. Le mandat de Lionel Vuibert, élu de justesse (50,34%), commence mal. Il n’a pas coupé le cordon avec l’organisation patronale ardennaise et peine à se mettre au service du développement de notre département. Nombre d’entreprises de la métallurgie ont mis la clef sous la porte ces dernières années à l’image des patrons voyous de Thomé Génot à Nouzonville sans réaction de l’UIMM et de celui qui, à l’époque, était son secrétaire général.
Dans sa 1ére déclaration en qualité de député Lionel Vuibert annonce « qu’il restera le militant patronal qu’il a été ». Celui qui est affilié au parti de E.Macron n’a pas encore intégré qu’il n’est plus au service du patronat mais à celui de l’ensemble des habitants de notre département. L’objectif est de favoriser la création d‘emplois et non de défendre une caste de dirigeants.
Sylvain DALLA-ROSA
C’est une nouvelle page qui s’écrit. Après vingt-deux années passées à proximité du parc de La Courneuve, en Seine-Saint-Denis, la Fête de l’Humanité est contrainte de changer de localisation en raison des jeux Olympiques de 2024. Cela a conduit à repenser entièrement l’événement populaire, musical et politique.
La prochaine Fête de l’Humanité, prévue le week-end des 9, 10 et 11 septembre, se déroulera dans la banlieue sud, au Plessis-Pâté, sur le terrain de l’ancienne base aérienne 217. L’infrastructure a été adaptée et le lieu est accessible en transport en commun par les RER C et D avec des navettes jusqu’à l’entrée de la fête.
La nouvelle version verra ses allées élargies, agrémentées de grandes plaines avec des espaces de repos.
Pour le reste, la Fête de l’Humanité gardera ses scènes musicales et les lieux habituels de débats. L’actualité sera marquée cette année par la paix comme projet politique, mais aussi les batailles contre la vie chère, pour de meilleurs salaires et retraites, ou encore contre la banalisation de l’extrême droite.
Un car est organisé au départ des Ardennes le samedi 10 septembre au prix de 65 € entrée comprise.
La réservation est obligatoire : renseignements au siège de la Fédération des Ardennes du PCF.
Ceux qui ne peuvent se rendre à la fête peuvent aussi contribuer par l’achat de bons de soutien à l’Humanité.
NB : la Fédération sera fermée jusqu’au 15 août : mettez un mail à pcf08@wanadoo.fr pour prendre RV.
Tout faire pour ne pas augmenter les salaires : après le refus de toute augmentation du SMIC, plus que légale, et quelques chèques, pour tenter de calmer l’opinion, voilà Renaissance, le nouvel avatar de la majorité présidentielle, allié à la droite, qui propose des rachats de RTT, la formule nouvelle du « Travailler plus pour gagner plus ». C’est un nouveau grignotage des droits sociaux, qui se voudrait indolore et invisible, alors même que ses dangers sont multiples :
– C’est la remise en cause des 35 h, tout en étant un alibi pour le patronat pour ne pas augmenter les salaires.
– En l’autorisant sans convention collective ou accord d’entreprise, cette loi, si elle était votée, renforcerait le lien de subordination entre le salarié et son employeur, affaiblirait les droits collectifs des salariés.
– Cette monétisation des RTT ne serait pas soumise à cotisation sociale, affaiblissant encore un peu plus notre protection sociale.
Cette mesure annoncée pour une plus grande liberté des salariés serait en fait à l’avantage exclusif du patronat : en plus ce serait du travail supplémentaire payé moins cher que des heures supplémentaires (10 % contre 25%)
Osons mettre cela en parallèle avec les superprofits : Total vient d’annoncer 18,5 milliards d’euros de bénéfices au premier semestre, en hausse de 200 % par rapport au premier semestre 2021. Et ce n’est pas que le secteur de l’énergie : le géant du luxe LVMH annonce 6,5 milliards d’euros de bénéfices, (+ 23 %) et, autre exemple, Stellantis se targue d’un bénéfice net de 8 milliards d’euros, en hausse de 34 % par rapport au 1er semestre 2021
Bien sur, les PME ardennaises ne font pas toutes les mêmes profits… mais le gouvernement pourrait en exigeant l’augmentation des salaires, prendre d’autres mesures comme le rééquilibrage des impôts sur les sociétés et une obligation de responsabilité sociale vis à vis des sous-traitants.
Plus que jamais, le PCF, avec ses groupes au Parlement, et tous ses militants, est présent pour décrypter les pièges du discours libéral de Macron, proposer des solutions et contribuer aux luttes.
Une date est déjà dans le paysage de la rentrée sociale : le 29 septembre avec un appel à la grève de la CGT pour les salaires et le pouvoir d’achat. Cela sera précédé d’une journée nationale d’action le 22/09 pour la santé.
Le 10 juin dernier les psychologues de tous horizons professionnels ont fait entendre leur voix . Nos camarades communistes étaient là pour nous soutenir et défendre un accès aux soins psychiques pour tous.
La crise sanitaire a mis à jour les maux de notre société qui découvre entre autres l’importance des psychologues. Le gouvernement s’emploie à nier leur place en imposant un accès sous prescription médicale qui pénalise le public en limitant leur indépendance technique et en conditionnant leur exercice clinique. En effet, depuis plusieurs mois émane du gouvernement une succession de rapports et réglementations qui sous couvert de préoccupation humaniste pour la santé mentale de nos concitoyens dénigrent chaque fois davantage les psychologues et menacent de plus en plus leur pratique (rapport IGAS, remboursement à 22€la séance de 30 minutes, cahier des charges de l’ARS qui interdit les soins à certaines structures et les limite drastiquement à d’autres, plus récemment un arrêté réduisant d’une manière caricaturale les compétences des psychologues qui interviennent auprès des enfants présentant certains troubles du développement).
Ce que les psychologues dénoncent ce sont les méthodes antidémocratiques qui ignorent les organisations représentatives de la profession et la réalité des pratiques professionnelles. Nous dénonçons l’intention qui consiste à vouloir contrôler la profession, la mettre sous tutelle, la para médicaliser, l’instrumentaliser pour répondre à une idéologie et une volonté politique.
L’engagement des professionnels au service de la population, l’utilité et l’efficacité de leurs pratiques ne sont plus à démontrer depuis longtemps. Les psychologues refusent le mépris et le déni qu’on leur oppose ! Nous condamnons également l’abandon du service public et demandons la création massive de postes de psychologues dans ce secteur.
Les psychologues sont oubliés, délibérément écartés du Ségur dans la FPH (aucune revalorisation des grilles de salaire n’est prévue, le très faible passage en hors classe bloque le déroulement des carrières ; la précarisation des emplois ne fait qu’augmenter ; la profession de psychologue hospitalier est ainsi clairement dénigrée, sans cesse humiliée au profit des médecins (denrée rare et précieuse).
Mais au fait c’est quoi un psychologue ? Le psychologue clinicien est un professionnel qui a validé un master 2 en psychologie, soit un bac +5. A ceci s’ajoute une conditionnalité dans le choix du master et des stages car tout psychologue en titre n’a pas vocation à être au chevet du patient. Bon nombre des facultés ont considéré que la maitrise devait être faite en deux ans en raison des objectifs professionnels à atteindre. Ceci prolonge donc à 6 ans la durée des études, comme pour certaines professions médicales.
En licence 1, les universités ont souvent plus de 1000 étudiants. En général, ces mêmes universités n’ont que deux ou trois Masters professionnalisants qui destinent l’étudiant vers la voie psychopathologie, développementale ou neuropsychologique. Sur 1000 étudiants, seuls 60 à 90 seront des « cliniciens » au sens très large du terme. Il y a donc une sélection réelle et exigeante dont le numerus clausus n’est pas sans rappeler le concours de première année en médecine à la différence près que le couperet n’est pas à l’entrée du parcours mais en cours d’un cursus déjà bien entamé.
Cette formation recouvre moult domaines et n’est pas essentiellement littéraire. Le psychologue est formé à la rigueur de la démarche scientifique qui doit être aussi rompu aux statistiques pour s’appuyer sur les publications qui jalonnent les recherches, notamment en sciences cognitives et en neurosciences (neuroanatomie et imagerie, neurophysiologie, pharmacologie, neuropsychologie…). Il est tout aussi formé à la psychopathologie et la démarche diagnostique, qu’à la rigoureuse pratique du bilan. Il est formé à la psychologie sociale et à la psychologie du développement pour saisir le sujet au contact des groupes sociaux et dans le temps. Enfin, il est aussi formé à l’épistémologie, à l’anthropologie, à la philosophie car « sciences sans conscience n’est que ruine de l’âme » comme le scandait Rabelais. Ainsi le psychologue est-il garant de l’intégrité du Sujet dans un parcours de soin où le focus se concentre toujours un peu plus sur l’organe et l’organique. Le psychologue est le trait d’union entre le monde médico-scientifique et le patient.
En institution, le psychologue clinicien est très souvent un cadre A, un cadre statutaire. Ainsi le psychologue clinicien ne saurait être sous l’autorité du Cadre de Santé avec lequel il collabore. Il n’est pas davantage sous l’autorité du médecin dont il est un des partenaires. Le psychologue dépend directement de la Direction des établissements. Cette autonomie du psychologue est garante d’une posture essentielle à son travail, d’être à la croisée de multiples champs expérientiels, et être vecteur du discours du patient sans subordonner le patient à sa propre subordination professionnelle. Cette place du psychologue, plutôt atypique, est aussi ce qui l’émancipe de la médecine (il n’est pas un paramédical), et aussi de la philosophie (laquelle n’est pas une science). C’est un professionnel des SHS qui exerce très souvent dans le domaine de la santé.
Le psychologue clinicien est un acteur essentiel du parcours de soins pour de nombreux patients. Sans psychologue, la question diagnostic demeure floue. Or dans de très nombreuses problématiques il est le seul à être formé et habilité à la passation de certains tests, lesquels sont essentiels aux équipes soignantes, y compris au médecin, ainsi qu’aux patients pour obtenir les aides nécessaires.
Sans psychologue, pas de psychothérapie maîtrisée autre que sauvage.
Psychologue clinicien n’est ni une profession médicale, ni une profession paramédicale, ni une profession administrative. Aussi, quand les médicaux ont été valorisés alors qu’ils sont notre équivalent sur les organigrammes, nous ne l’avons point été car nous ne sommes pas médicaux. Quand les Cadres de Santé ont été augmentés, nous ne l’avons pas été car nous ne sommes que statutaires. Quand les paramédicaux ont été revalorisés, nous ne l’avons pas été car nous ne sommes pas paramédicaux. A chaque fois, notre profession ne rentre pas dans la bonne case. Tandis que toutes les professions voient leurs situations professionnelles évoluer, une chose est sûre : les psychologues, sans cesse, passent à la trappe ! Leur salaire n’a pas évolué depuis 1991 dans l’ensemble des conventions collectives les concernant. Jusqu’au Ségur de la santé, un psychologue hospitalier démarrait à 1400 euros nets. Dans privé, la situation n’est pas plus réjouissante. Le psychologue qui est pourtant l’un des agents les plus qualifiés exerçant à l’hôpital, est le moins bien payé à niveau d’études équivalent (et moindre…).
Nous demandons le retrait de l’ensemble des projets et mesures annoncées, nous demandons l’accès libre aux psychologues dont la consultation doit être remboursée par la sécurité sociale et nous exigeons le respect de la loi de 1985 soit le respect de l’autonomie des psychologues et de la pluralité de leurs méthodes et pratiques, nous exigeons la reconnaissance de leur éthique et de leur déontologie élaborée par vingt-et-une organisations ou syndicats de psychologue dans un code qui est régulièrement réactualisé nous rejetons la proposition de loi de quelques députés en vue de créer un ordre des psychologues qui participeraient à leur disqualification et mise sous tutelle. Aujourd’hui, 20 jours après cette mobilisation les réponses du gouvernement se font attendre, la raison en est peut être que le ministre de la Santé croit apparemment ne pas avoir oublié les psychologues dans le Ségur.
Si nous sommes rassemblés aujourd’hui, c’est non seulement pour marquer notre détermination à lutter contre l’extrême droite et l’obscurantisme, mais aussi pour affirmer notre unité populaire face à la fascisation accélérée du monde.
Partout en France, étudiants, travailleurs, privés d’emplois et retraités manifestent leur détermination à briser les mouvements anti-républicains et antidémocratiques.
Face à cette situation, qui n’est plus seulement inquiétante mais qui est réelle et bien réelle, il ne suffit pas et il ne suffira jamais de simplement crier au rythme de nos manifestions « halte au fascisme » et « non à l’extrême droite ». Non ! Il nous faut bâtir une véritable alternative populaire, construire ensemble la République démocratique, sociale et laïque dont nous avons tant besoin.
Fort de son histoire, le Parti Communiste Français analyse les faits avec lucidité. Le climat de violence actuel, les appels à la sédition, les appels au meurtre de militants communistes et de gauche, les idéologues fascistes dans les médias, les tags révisionnistes, sans oublier la gifle qu’a reçu un Président de la République par un fou furieux se réclamant de l’ultra-droite royaliste, 229 ans après la grande victoire de Valmy et la proclamation de la Ière République ! Comme le titrait l’Humanité cette semaine : la cote d’alerte est franchie !
Nous le savons, il n’y aura que violences et reculs démocratiques avec l’extrême droite. A nous de leur opposer les jours heureux comme nos anciens qui ont bâti la sécurité sociale à la libération. N’attendons pas de nouvelles heures sombres pour imposer le rapport de force.
Luttons dans les urnes et dans la rue pour assurer à chacun un emploi ou une formation, pour la paix entre les peuples et pour garantir notre souveraineté nationale. En bref, pour un projet de société qui redonne espoir au peuple de France et qui éliminera pour de bon la peste brune.
Un projet progressiste, républicain, qui met la question sociale au cœur de tous les choix. Marchons vers la démocratie nouvelle qui est le seul rempart à l’extrême droite.
N’oublions jamais qu’en tout temps, l’extrême droite a divisé les travailleurs et les détournés du véritable combat : le combat de classe ! N’oublions pas non plus qu’au sein d’une démocratie, si libérale soit-elle, les bourgeoises nationales n’hésitent pas à s’appuyer sur les débris réactionnaires de l‘ancien temps.
C’est bien le système de production capitaliste que nous devons montrer du doigt, système qui est en crise, une crise qui ne date pas d’hier puisqu’elle remonte à au moins un demi-siècle. Elle est structurelle, multidimensionnelle, elle est grave, et surtout elle est systémique : c’est-à-dire que le système ne trouve pas de solution par sa logique, de lui-même.
Le fascisme c’est bel est bien le capitalisme en décomposition.
Face à cette menace, je vous invite à rejoindre les rangs du Parti Communiste Français, le seul parti à pouvoir construire les jours heureux, le parti de la France, le parti de la République.
Après les inondations dramatiques de 1993 et 1995, la réaction, à l’époque, des élus a été efficace avec la création du SIVU de lutte contre les inondations avec la commune de Warcq et à la fin des années 1990 de l’EPAMA.
Le plan de prévision des risques d’inondations (PPRI) a été révisé lors du dernier conseil de l’agglomération créant 5 zones d’exception. Il y a eu dans les années 1990 une exception de taille avec la construction du centre aquatique du Mont Olympe. Située en zone inondable cette réalisation a des conséquences sur le niveau des crues empêchant l’eau de s’évacuer normalement. Les cinq zones retenues vont avoir le même effet avec un risque pour les crues à venir. La seule zone d’exception, peut-être justifiée, est sur le site de la Macérienne où une partie pourrait être retirée du plan en l’occurrence le site de la centrale hydroélectrique.
Au chapitre des inquiétudes aussi le démantèlement de Voies Navigables de France (VNF) qui est l’organisme qui est chargé de l’entretien des rivières et de faire respecter le PPRI.
Ce jeudi 15 avril, le PCF, le PS, Génération S, EELV et la France Insoumise présentaient le programme sur lequel ces organisations se sont accordées en vue des élections départementales dans les cantons de Charleville-Mézières. A la remorque de l’agglomération ou de la région, les élus du conseil départemental n’auront pas marqué les six ans de leur mandat ! On en entend plus parler pour le malaise de ses personnels que pour la combativité des élus. Alors que d’autres départements ont gagné en justice, vis à vis de l’État, pour la non compensation des dépenses liées au RSA, le notre subit et le fait payer aux Ardennais.
Il y a urgence à avoir d’autres élus, combatifs, au côté de la population, défendant les services publics, prenant en compte l’impératif de plus de solidarité. Les défis environnementaux nécessitent, non pas quelques actions vertes, pour compenser les dégâts, mais bien que chaque décision du conseil départemental soit aussi analysée à la loupe des conséquences écologiques. Nos collèges ont besoin d’être modernisés mais pas n’importe comment et cela nécessite donc une vraie consultation de la population. Il faudrait créer un service public d’aide aux personnes âgées en perte d’autonomie. Si le développement économique n’est plus une compétence départementale, le département peut cependant agir, en soutenant les associations, et par ses interventions sur le logement, par exemple : aider à l’isolation des logements crée de l’emploi, est nécessaire pour le climat, et contribue au confort des familles !
Ce sont ces propositions et d’autres que porteront les candidats de la gauche rassemblée dans une démarche citoyenne sur les quatre cantons de Charleville-Mézières.
Aux dernières nouvelles, les élections régionales et départementales auraient lieu les 20 et 27 juin … sauf nouveau changement !