Les malades du nord du département n’ont pas choisi de se faire soigner en Belgique : c’est la seule solution de proximité pour eux.
Après avoir permis cette coopération transfrontalière à la suite de la fermeture de la maternité de Revin en 2001 « pour calmer les esprits » les habitants de Givet et des environs sont progressivement abandonnés.
Dernière en date : des malades transférés en urgence de Dinant vers d’autres hôpitaux belges reçoivent la facture des transports, non pris en charge par la sécurité sociale ni par leur mutuelle.
Heureusement que l’ASMUP est là et merci à elle et à sa présidente pour exiger l’accès aux soins de toutes et de tous à Givet comme partout en France !