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La loi ASAP vous connaissez ?

Peut-être pas ! ASAP signifie accélération de la simplification de l’action administrative. Cette loi, promulguée en décembre, pourrait paraître anodine. Mais est-ce possible avec ce gouvernement ?

L’exemple des modes d’accueil de la petite enfance traduit tout le caractère antidémocratique et antisocial de la majorité actuelle : c’est par ordonnance que la réforme se fait ! Et quelle réforme !

Elle s’inscrit dans une politique continue de casse des services publics et favorise le développement des structures privées lucratives, conformément au modèle développé pour les EHPAD… aujourd’hui inaccessibles pour la majorité du fait de leur prix exorbitant.

Sous prétexte de relancer l’attractivité du secteur, il s’agit, sans financement supplémentaire, d’optimiser à outrance l’occupation des places, de diminuer les taux d’encadrement, de développer l’accueil en surnombre, de diminuer la surface minimum par enfant, de déréglementer l’administration des médicaments, de ne pas reconnaître la qualification des agents, de favoriser l’absence d’expérience professionnelle pour les encadrants, et de ne pas augmenter le niveau de rémunérations.

Ainsi, il serait possible d’inclure les apprentis dans le calcul du taux d’encadrement, de permettre à des personnes sans expérience professionnelle préalable auprès de jeunes enfants d’occuper des postes de direction dans des crèches. Pour ce qui est de l’accueil à domicile, le projet permettrait un agrément ordinaire pour 6 enfants par assistante maternelle et jusqu’à 8 enfants présents simultanément.

Inutile de dire que cela mécontente profondément les professionnel.les. C’est à l’appel de tous les syndicats (CFDT, CGT, FSU, FO et Sud) qu’une journée nationale de grève et de manifestation est prévue le 30 mars.

COMMUNIQUE DE PRESSE

Les 1531 adhérents du Parti Communiste Français à jour de cotisation de la région Grand Est ont été consultés sur la stratégie du PCF pour les élections régionales des 13 et 20 juin 2021 ainsi que sur la confirmation de leurs chef-fe-s de file

Près de 900 militants se sont exprimés.

A la question sur la stratégie du PCF, les communistes de la région Grand Est approuvent à 89% leur engagement pour le « Pacte pour une région écologiste, citoyenne et solidaire » avec le Pôle écologiste et le Parti Socialiste, et leur volonté de poursuivre les discussions pour travailler à la convergence de toutes les initiatives en faveur d’une liste unique rassemblant les forces de gauche, écologistes et citoyennes.

Sur la désignation des chef-fe-s de file, les communistes de la région Grand Est confirment à 90% Hülliya TURAN et Bora YILMAZ comme leurs chef-fe-s de file, représentant-e-s légitimes du PCF pour conduire les discussions avec nos partenaires.

Les 10 fédérations du Grand Est du Parti Communiste Français se félicitent du processus démocratique engagé et remercient les communistes pour la confiance qu’ils portent en leur chef-fe-s de file pour poursuivre les discussions avec les partenaires de gauche et du pôle écologiste déjà engagées dans le pacte Grand Est.

Nous réaffirmons notre volonté de porter haut nos propositions régionales pour répondre à l’urgence écologique, sociale et démocratique, et de rassembler toutes les forces de gauche, écologistes et citoyennes sur une même liste pour les élections régionales des 13 et 20 juin 2021.

Dans les Ardennes, 37 % des communistes se sont exprimés et ont soutenu la proposition à 64 % (19 % contre et 17 % d’abstention). Le soutien aux chef.fes de file a été plus large : 76 % pour, 5 % contre et 19 % d’abstention.

Mercredi 31 Mars : Les retraité-e-s dans la rue ! Rassemblement et Manifestation. Toutes et tous à 14h00 devant la préfecture

Un pouvoir d’achat en recul : De mesures fiscales défavorables en blocage des pensions, depuis plusieurs années, les retraité-e-s vivent de plus en plus mal. Entre le 1er janvier 2008 et le 31 décembre 2019 les pensions nettes ont progressé de 6,26 % pendant que l’indice des prix Insee augmentait lui de 12, 93 %. La réponse gouvernementale, c’est une revalorisation de 0.4 % et le gel des complémentaires ! L’intersyndicale des retraité-e-s exige une revalorisation immédiate de 100€ comme première étape avant d’autres augmentations !

Le droit à la santé pour tous : Les retraité-e-s doivent pouvoir se soigner correctement. Il faut garantir l’accès aux soins en multipliant les centres de santé publics avec nombre de médecins généralistes dans tous les territoires. La pandémie a mis en lumière l’immense manque de moyens des hôpitaux publics, depuis 30 ans 100.000 lits ont disparu et les effectifs ont été saignés ! Exigeons 100.000 embauches immédiates !

La sécurité sociale : Alimentée par les cotisations que les retraité-e-s ont payé toute leur vie de labeur, notr Sécu ne doit pas servir à financer le « quoi qu’il en coûte » de Macron et pas question que les actionnaires des laboratoires pharmaceutiques se gavent sur son compte ! Et si les patrons payent ce qu’ils doivent et que cessent les exonérations, alors oui, il serait largement possible de financer :

Un droit à l’autonomie financé à 100% dans la branche maladie de la Sécu. Que ce soit en Ehpad ou au niveau des services à domicile le manque de personnel est criant. Le formidable dévouement des soignants ou des aides à domicile ne peut plus suffire et il faut d’urgence que la situation évolue dans le bon sens. Exigeons la création d’un grand service public de l’autonomie avec les embauches nécessaires. Exigeons que soit votée rapidement une loi répondant aux besoins de la société au niveau du grand âge et de l’autonomie. Le droit à l’autonomie est indissociable d’une approche globale de la santé et doit être reconnu dans la branche maladie. Il ne doit pas être financé par les retraité-e-s, ni par l’impôt, ni par des mesures fiscales supplémentaires.

Alain Janvre

« Culturez-vous » : enfin, essayez !

Cela fait plus d’un an maintenant que les salles de spectacle sont fermées.
La colère gronde et s’organise.
Depuis l’occupation le 4 mars du théâtre de l’Odéon à Paris par une cinquantaine de professionnels, la lutte s’amplifie.
Aujourd’hui, plus de 30 lieux culturels comme les théâtres, médiathèques, opéras, ont été investis par des intermittents du spectacle mais aussi par des acteurs, étudiants et salariés de l’événementiel.
Cela traduit le ras-le-bol des décisions gouvernementales qui, depuis le début de la crise ne préservent que les rapports marchands : les produits dits « essentiels ».
Mais, la culture n’est-elle pas essentielle, indispensable à l’émancipation et au bien-être des gens ? Le gouvernement a reculé en ouvrant les librairies mais il faut aller beaucoup plus loin.
D’autre part, beaucoup de ces travailleurs sont impactés de plein fouet par la réforme de l’assurance chômage. Ils demandent la prolongation de leurs droits au-delà du 31 août 2021.
La mobilisation s’étend comme une traînée de poudre.
Il ne sert à rien de condamner une actrice qui dénonce de manière pouvant paraître dérangeante pour certains les choix politiques du gouvernement.
Le monde de la culture est à vif, à nu, ensanglanté et forcément les « bien-pensants » préfèrent s’offusquer et faire diversion en s’acharnant sur une professionnelle qui exprime clairement ce qui se passe actuellement.
La stratégie de diversion est cousue de fil blanc.
Corinne, nous te soutenons sans aucune réserve !

Ils ont le choix !

Pacte Ardennes, Ardenne-Métropole : les choix faits sont des choix de droite, des choix faits contre les salariés, les retraités, les demandeurs d’emplois, les jeunes !

La ministre de la cohésion des territoires, Jacqueline Gourault, est venue dans les Ardennes, à l’occasion des deux ans du Pacte Ardennes, cet accord entre l’Etat et notre département, bien peu connu et pour cause : il n’a pas changé la vie des gens ! Simplement des subventions de l’État ont été étiquetées « Pacte Ardennes » ! Il fallait bien que la ministre vienne avec un petit cadeau : c’est pour l’installation des cycles Mercier à Revin. Simplement, nous ne savons toujours pas quels sont les engagements de l’entreprise face à ce déferlement d’argent public. Sans juger à priori du projet des cycles Mercier, disons simplement que cette habitude de distribuer de l’argent au patronat sans contrepartie, est un choix politique, au service de la bourgeoisie, contre le peuple !

Et nous avons un deuxième exemple de choix politique avec la récente réunion du Conseil Communautaire d’Ardenne Métropole : son président, B. Ravignon se plaint des difficultés financières dues à la fois à la COVID et surtout à la volonté délibérée du gouvernement (comme d’ailleurs des précédents) de réduire les dépenses publiques.

Passons d’ailleurs sur le fait que cela permet à l’État de se montrer généreux : les dotations des collectivités sont réduites à peau de chagrin et les ministres distillent leurs aides à leur bon vouloir comme dans ce Pacte Ardennes. C’est une attaque très grave contre l’autonomie des collectivités, contre la démocratie donc.

Le président d’Ardenne Métropole se plaint que le gouvernement se défausse sur les collectivités, mais il en rajoute en créant une police intercommunale dont on a bien du mal à voir à quoi elle va servir, sauf à poser les bases d’une suppléance de la gendarmerie au lieu d’exiger que le gouvernement donne à celle-ci les moyens nécessaires.

Il va donc falloir faire des économies en contre-partie : tout porte à craindre que ce soit au détriment des services publics locaux ! La police plutôt que des moyens pour la culture, les associations, le sport … C’est un véritable choix politique de droite.

Michèle Leflon

La psychiatrie publique en danger !

Alors que la COVID fragilise, multiplie le besoin de recours à des soins en psychiatrie, l’hôpital Belair et ses secteurs sont victimes des mêmes mesures d’économie que l’ensemble du service public hospitalier.

Mais pire : il y a en 1ère ligne de l’accueil de nos plus jeunes concitoyens, des goulots d’engorgement de dizaines d’enfants en attente de prises en charge adaptées en hospitalisation de jour ou en accueil thérapeutique à temps partiel dans les CASPEA (centre d’accueil et de soins pour enfants et adolescents) du département contribuant à l’aggravation des pathologies. Ceci n’est dû qu’à des stratégies organisationnelles et managériales délétères venues d’en haut et relayées par une direction choisie. Nous en avons un exemple parlant avec les départs des personnels qui ne sont pas remplacés, comme si on voulait réduire à peau de chagrin le service public. La logique capitaliste est là aussi et plus que jamais à l’œuvre : travailler toujours plus avec des moyens humains et matériels toujours plus maigres.

Alors qu’il pourrait y avoir une véritable complémentarité entre les prises en charge des enfants entre Manchester, l’hôpital de Sedan et Belair, les choix ne sont pas faits dans l’intérêt des enfants, mais dans une course à l’occupation des lits ou autre statistique !

Car la psychiatrie, comme tous les soins, doit faire preuve de « rentabilité », comme si la santé était une marchandise.

Inutile de dire que les personnels ne supportent pas le « management » tel qu’il est fait, contraire à une prise en charge humaine des patients, contraire à leur éthique. Alors certains partent sur la pointe des pieds dans l’indifférence de la direction, de l’ARS (Agence Régionale de Santé) juste pour sauver ce qui reste de leur peau.

Gratuité des bus : une de nos exigences depuis plusieurs années

Suite à un incident, les habitants d’Ardenne Métropole peuvent bénéficier des bus gratuits.

Ils en sont tous très heureux !

Le maire de Charleville-Mézières et président d’Ardenne Métropole serait bien inspiré de profiter de cette expérience pour pérenniser cette mesure dans le temps !

Différentes métropoles ont fait ce choix et appliquent la gratuité de ce transport en commun.

Nous le répétons :

c’est bon pour le pouvoir d’achat

c’est bon pour le désenclavement des quartiers et l’exclusion sociale

c’est bon pour la sécurité des chauffeurs

c’est bon pour la planète

Et, contrairement à nos détracteurs, il est possible de financer cette gratuité sans augmenter les impôts des habitants.

Il suffit d’avoir le courage politique d’augmenter la taxe versement transport payée par les entreprises de plus de 11 salariés en la passant de 0,8% (soit une des plus basse de France) à 1%.

Au vu de l’urgence climatique, les chefs d ‘entreprises ne seront sans nul doute pas opposés à participer à cet effort contribuant à réduire la pollution de l’air, lutter contre le bruit et la congestion du trafic en ville.

Monsieur le maire et président, à vous de jouer, transformez l’essai !

Corine Postal

Conseil National du PCF : pour une candidature communiste en 2022

Le Conseil National du PCF s’est prononcé majoritairement (52,03%) en faveur d’une candidature communiste à l’élection présidentielle. 34,96% des membres du CN se sont prononcés pour une candidature de rassemblement à gauche (pas de noms précisés) et 13,01% se sont abstenus. Fabien Roussel, député du Nord et Secrétaire National, met à disposition des communistes sa candidature pour les prochaines élections. C’est parce que les Communistes ont majoritairement demandé de ne pas reproduire les erreurs, les fautes du passé, que lors du 38ème Congrès, ils ont donné mandat à la direction nationale qu’ils ont mis en place, de créer les conditions pour mettre un terme à l’effacement de notre Parti durant deux élections présidentielles. C’est à cela qu’un candidat issu du PCF peut être utile, à modifier le rapport de force en faveur du travail contre le capital, à contribuer ainsi à ouvrir une issue, à redonner de l’espoir et de la confiance au monde populaire, à reconstruire une gauche de transformation sociale qui n’a jamais historiquement pu exister sans la force et les propositions d’un parti communiste. C’est en permettant l’irruption dans le champ du vote de ceux qui ont besoin de changement profond que nous empêcherons les scénarios écrits d’avance et les lendemains qui déchantent. Parce qu’elle sortira des sentiers battus, parce qu’elle invitera franchement le monde du travail à ne pas se laisser voler l’élection, parce qu’elle placera dans l’élection même la gauche face à ses responsabilités, la candidature communiste après 10 ans d’absence peut contribuer à modifier profondément le climat de 2022 et à ouvrir une perspective. Assumons notre responsabilité historique dans ce moment. La seule réponse au piège présidentiel, ce ne peut être une candidature laissant croire à l’illusion du sauveur suprême, même sous la forme d’un artiste d’artifice. Ce doit être une candidature portant la promesse de reconstruire la force organisée que représentait le parti communiste dans le monde du travail. Ce dont a besoin le peuple pour espérer sortir du piège présidentiel, c’est l’affirmation qu’on peut reconstruire un grand parti populaire, révolutionnaire, un parti ancré d’abord dans l’action militante, de terrain et pour qui l’élection n’est qu’un moment de la bataille idéologique. C’est le sens que doit prendre une candidature communiste en 2022, une surprise qui dit au peuple : « Vous vous êtes fait avoir en 1981, 1988, 1995, 2002, 2007, 2012, 2017… Si vous en avez marre, ne votez pas contre celui que vous ne voulez pas, votez pour votre propre force organisée, votez pour vous engager dans la longue et dure révolte contre un système injuste et inefficace, votez pour changer de société, votez pour reconstruire un grand parti communiste ! C’est l’étape nécessaire pour sortir du piège présidentiel, pour en terminer avec la gauche qui vous a trahi si souvent, pour créer les conditions d’un mouvement historique à la hauteur du Front Populaire. »

Mobilisation contre les fermetures de classes

Tous les prétextes sont bons pour lutter contre la mobilisation des parents d’élèves pour défendre de dignes conditions de scolarité à leurs enfants ! A Montcy Notre Dame, la réunion d’information, qui devait pourtant se tenir dans le COSEC, permettant de respecter la distanciation physique a été interdite ! Pour les autorités, les distances sont sans doute moins importantes à l’école où une classe devrait être supprimée l’année prochaine ! Inutile de dire que la mobilisation des parents continue avec à l’agenda un rassemblement le samedi 20 mars à 10 h 30 devant le COSEC. Des actions ont également eu lieu à l’école Michel Trabbia de Revin, à Vireux Wallerand …
Comme tous les ans, le début de l’année a apporté son lot de mauvaises nouvelles pour les écoles ardennaises : 36 fermetures de classes. Alors que l’éducation est un investissement pour l’avenir, que l’importance du nombre d’élèves par classe a été largement soulignée par le ministre Blanquer qui a décidé de diviser par deux les effectifs des classes de CP et maintenant de CE1 dans les zones prioritaires, la calculette est de règle partout ailleurs pour concentrer les élèves, réduire le nombre de postes d’enseignants. Soulignons au passage l’hypocrisie de certains élus, prêts à défendre la classe de leur commune ou de leur circonscription, mais partisans de réduire le nombre de fonctionnaires, d’enseignants donc !
La politique gouvernementale poursuit l’objectif de casse d’une école commune et émancipatrice. Avec moins d’enseignants, des effectifs par classe de plus en plus lourds et une offre de formation qui se réduit comme peau de chagrin, l’Éducation nationale est transformée en service minimal, destiné à accueillir ceux qui n’ont pas d’autres choix. Les familles qui le peuvent sont encouragées à se tourner vers le privé.
C’est intolérable et la fédération des Ardennes du PCF apporte son soutien aux mobilisations en cours.

Élections régionales

Après l’appel lancé en octobre par les 10 fédérations du PCF, à la population et à toutes les forces de gauche et écologiques, au rassemblement pour notre région, la signature par de nombreux responsables du PCF de l’« appel inédit » dont la résolution adoptée par notre conférence régionale avait confirmé que nous en partagions « l’ambition d’une liste unique rassemblant toutes les forces de gauche, écologistes et citoyennes », les discussions ont continué et abouti à ce pacte ci-dessous avec les mouvements écologistes et le parti socialiste. Ce n’est pas encore le grand rassemblement que nous voulons mais on avance ….
Rappelons qu’en 2015, la division des forces de gauche n’avait pas permis une présence au second tour, malgré la dynamique campagne de la liste de rassemblement menée par notre camarade Patrick Péron et le projet transformateur que nous portions.

Un pacte pour une région Grand Est écologiste, citoyenne et solidaire !

Prévenir la catastrophe climatique, refaire société et réparer la crise sanitaire, économique et sociale :

C’est sur ces objectifs que nous appelons à nous rassembler au sein d’un pacte pour une région Grand Est écologiste, citoyenne et solidaire, car le duel entre la droite et l’extrême droite n’est pas une fatalité.

Rassemblé.e.s nous pouvons faire de notre région une terre écologique et solidaire, plus humaine.

Rassemblé.e.s pour inventer l’économie du 21ème siècle : le choix d’une agriculture respectueuse de l’environnement, d’une industrie relocalisée et bas carbone, de l’investissement dans la recherche et l’innovation, de la transition des métiers, du partage de la valeur et du travail.

Rassemblé.e.s pour la préservation de nos biens communs que sont , l’eau, l’air, la forêt et les sols.

Rassemblé.e.s pour la justice sociale, des services publics de proximité, la lutte contre toutes les exclusions et pour l’égalité entre femmes et hommes, la solidarité entre les générations, la coopération entre les territoires ruraux et urbains.

Rassemblé.e.s pour une Région pionnière dans la mobilité (notamment ferroviaire) et l’habitat durable, la production d’énergies renouvelables et une alimentation de qualité pour tou.te.s.

Rassemblé.e.s pour une grande politique de santé publique et de prévention et une éducation qui donne à chaque jeune une chance égale de travailler.

Rassemblé.e.s pour réconcilier l’attachement profond qui nous relie à chacun de nos territoires et notre choix radical d’une solidarité européenne et planétaire.

Rassemblé.e.s pour gagner !

Il est temps de s’unir dans un esprit d’ouverture pour tout.e.s celles et ceux qui hier comme aujourd’hui partagent ces valeurs et ces aspirations. IL est temps d’ouvrir « un coin de ciel bleu » dans le cœur de 5,5 millions de citoyen.nes.

C’est dans cette dynamique que les forces écologistes et de gauche (EELV, Cap Écologie, Génération écologie, le MdP, PS et PCF) ont engagé un processus démocratique en leur sein, appellent à la convergence de toutes les initiatives et travaillent dès aujourd’hui à construire une liste de rassemblement dès le premier tour des élections régionales de juin 2021 en Grand Est.